Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate

Tiohtiá:ke/Montréal, lundi 24 octobre 2022 – En cette Journée nationale de reconnaissance de l’action communautaire autonome (ACA), le mouvement communautaire interpelle le nouveau gouvernement élu afin qu’il bonifie dès son premier budget les investissements prévus pour le milieu de l’ACA. Il rappelle que les sommes budgétées dans le cadre du Plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire (PAGAC) demeurent insuffisantes pour combler les besoins minimums des organismes, tout en laissant pour compte plusieurs secteurs essentiels.

Alors que le manque à gagner en soutien à la mission pour les 4000 organismes d’action communautaire autonome est estimé à 460 M$, seulement le quart de la somme demandée sera accordée en 2022-2023.

« Les investissements promis ne répondent pas aux besoins de pans entiers du milieu communautaire, que l’on pense aux groupes écologistes, aux organismes en défenses collectives des droits, aux médias communautaires et ceux en santé et services sociaux, déplore Hugo Valiquette, président du Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) et porte-parole de la campagne Engagez-vous pour le communautaire. Ces organismes sont pourtant essentiels pour agir face à la crise climatique, pour contrer les inégalités sociales et pour réaliser le droit à la santé. »

Le mouvement d’action communautaire autonome somme également le nouveau gouvernement à implanter sans tarder des mesures d’indexation du financement des organismes dans tous les programmes de financement, selon des règles couvrant la hausse des coûts de fonctionnement.

« Si rien n’est fait en contexte de crise inflationniste et de persistance du sous-financement, les organismes continueront de s’appauvrir, ce qui aura des conséquences dramatiques pour le filet social et les conditions des personnes qui y travaillent », s’inquiète M. Valiquette.

Des secteurs laissés pour compte
Dans le cadre de la campagne Engagez-vous pour le communautaire et de la Semaine nationale de l’action communautaire autonome (#SNACA), des organismes représentant des secteurs clés du milieu communautaire joignent leur voix au Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) afin de demander au premier ministre et au ministre des finances de combler dès le prochain budget le manque à gagner en financement à la mission pour l’ensemble des besoins exprimés sur le terrain.

« Comment se fait-il que seulement 15 des quelque 130 groupes écologistes d’action communautaire autonome soient financés à la mission et que faute de financement près du tiers ont cessé leurs activités? Alors que nous vivons une crise environnementale sans précédent nécessitant une transformation sociale inédite, que la population veut se mobiliser pour agir pour la nature et les générations futures… C’est incompréhensible. »

– Chantal Levert, Coordonnatrice générale, Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE).

« Malgré le fait que les augmentations des dernières années ont aidé la majorité de nos membres, celles-ci compensaient à peine une inaction de plus de 15 ans. De plus, le récent PAGAC annonce de faibles hausses pour les prochaines années. Le principe d’une indexation complète est un minimum pour les groupes déjà financés. »

– Sylvain Lafrenière, Coordonnateur, Regroupement des organismes en défense collective des droits (RODCD).

« Bien qu’ils représentent les ¾ des organismes financés pour la mission globale les organismes du domaine de la santé et des services sociaux (OCASSS) n’ont obtenu que le tiers de l’enveloppe pour 2022-2023, soit 37,1M$. Réparti vers 3000 OCASSS cela ne correspond qu’à une augmentation moyenne de 12 000 $. Qui plus est, le gouvernement n’ajoutera que 3M$ à partir de l’an 2 du PAGAC et rien ensuite. Dans le contexte où les besoins s’élèvent déjà à 370M$ par année, en accorder seulement 10% est franchement insultant. »

– Mercédez Roberge, coordonnatrice de la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB) et porte-parole de la Campagne CA$$$H – Communautaire autonome en santé et services sociaux – Haussez le financement.

Déposé en mai dernier, le PAGAC constitue une première étape vers le réengagement de l’État envers l’action communautaire autonome. Le RQ-ACA souhaite la bienvenue à Chantal Rouleau, nouvelle ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire. Le RQ-ACA souhaite poursuivre les efforts entamés avec le précédent ministre et misera sur la collaboration dans ses travaux pour s’assurer que le plan ait les moyens de répondre à l’ensemble des besoins des organismes.

À propos de la campagne
Engagez-vous pour le communautaire est une grande campagne nationale de mobilisation qui unit tous les secteurs de l’action communautaire autonome de partout au Québec. Elle vise une société plus juste où les droits humains sont pleinement respectés.

À propos du RQ-ACA
Le RQ-ACA est l’interlocuteur privilégié du gouvernement en matière d’action communautaire autonome et représente 68 regroupements et organismes nationaux.

Ce sont 4000 organismes, 60 000 travailleurs et travailleuses et 425 000 bénévoles qui œuvrent depuis plus de 50 ans pour contribuer concrètement à ce que la société québécoise soit plus juste, plus verte et plus inclusive.

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Pour informations et demandes d’entrevues

Contact
Meaghan Johnstone
438.498.7681
communication@rq-aca.org

 

Source
Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA)

J’ai le plaisir de vous informer que nous sommes actuellement en recrutement pour notre 3e cohorte du Parcours Impulsion sociale destinée spécifiquement aux entreprises d’économie sociale (OBNL et Coop).

Le Parcours Impulsion sociale a pour objectif d’accompagner les entrepreneurs collectifs dans la validation et la croissance de leur modèle d’affaires afin d’assurer la pérennité et la viabilité de ces entreprises qui ont pour mission de répondre aux enjeux sociaux, écologiques et environnementaux de notre société. Ce parcours intensif leur permettra d’accroître leur posture entrepreneuriale par la mise en place de stratégies de développement et de diversification économique.

DÉTAILS DU PARCOURS IMPULSION :

Ainsi, si vous connaissez des entreprises d’économie sociale qui aimeraient participer à notre prochaine cohorte, je vous invite à :

  • Me mettre directement en contact avec ces entrepreneurs ;
  • Diffuser notre appel de candidatures dans votre réseau, en transférant ce courriel par exemple ;
  • Partager notre appel de candidatures via tes réseaux sociaux :

Voici le lien direct vers le dépôt de candidatures : https://forms.gle/Jq4NZWKBDWmNMrvG6

IMPORTANT : La date limite pour le dépôt de candidature est le 11 novembre prochain.

N’hésite pas à me contacter pour de plus amples informations.

Cordialement,

 

Emmanuelle Grégoire

CONSEILLÈRE AU DÉMARRAGE D’ENTREPRISES ET À
L’ÉCONOMIE SOCIALE

emmanuelle.gregoire@DELagglo.ca

450 645-2335 poste 125   delagglo.ca

 

204, boul. De Montarville, bureau 120,
Boucherville, QC J4B 6S2

 

 

La Ville de Longueuil lance un appel à la collaboration par le biais de ses organismes reconnus
à tous ceux et celles qui donnent du temps bénévolement et contribuent à la qualité de vie et aux
activités de notre communauté. Nous vous demandons de nous aider à mieux recruter et soutenir
les bénévoles et à améliorer l’expérience de bénévolat parce que les bénévoles sont essentiels
au succès et à l’existence même de nos actions en loisir, sport, culture, plein air et vie
communautaire.

Chaque bénévole est invité à remplir un questionnaire qui permettra de mieux vous connaître, de
comprendre vos attentes, vos besoins et vos motivations.

Bien sûr vos réponses sont transmises de façon anonyme. Les chercheurs de l’Université du
Québec à Trois-Rivières (monsieur André Thibault Ph.D, professeur émérite et madame Julie
Fortier Ph.D) sont tenus à la plus stricte confidentialité.

Nous vous demandons de 20 à 30 minutes de votre temps, une contribution inestimable dont nos
collectivités vous seront reconnaissantes.

Veuillez cliquer ici pour avoir accès au questionnaire :

https://api.legerweb.com/benevolesB4

La date limite pour répondre à cette enquête est le 15 novembre prochain.
Nous vous remercions pour votre précieuse collaboration.

Alain Bernard, directeur
Direction de la culture, du loisir et du développement social

SAINT-LAMBERT, le 17 octobre 2022 – Il y a un peu plus de 4 ans, à la veille des élections provinciales de 2018, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) sonnait déjà l’alarme quant à la précarité résidentielle vécue par les femmes. Sa revendication d’ « améliorer l’accès à des logements sociaux, permanents, abordables, salubres et sécuritaires, surtout des logements avec soutien communautaire répondant aux normes d’accessibilité universelle, notamment en investissant dans la construction de 50 000 nouveaux logements sociaux » urgeait le prochain gouvernement d’agir.

Monsieur Legault, alors que votre mandat se renouvelle, les groupes de femmes de la Montérégie veulent vous faire entendre leur cri du cœur. Leur constat est sans équivoque : la situation ne s’est pas seulement aggravée, elle est dramatique! Partout dans la région, tant dans les zones urbaines qu’en périphérie, les travailleuses qui forment la première ligne d’intervention rencontrent quotidiennement des femmes qui n’arrivent plus à se loger. Les augmentations aberrantes du marché locatif privé, la quantité insuffisante de logements sociaux – pour lesquels on peut voir jusqu’à sept ans d’attente – et les ressources d’hébergement qui débordent mettent les femmes en danger. « On est plus capables de référer ailleurs, tout est plein! Puis quand ce n’est pas plein, ce n’est pas adapté. Les services d’hébergement d’urgence mixte ne réservent pas de place pour les femmes. On a devant nous des femmes vulnérables, parfois à une nuit d’être dans la rue, et on a pas d’endroit sécuritaire pour elles », partage une intervenante de Longueuil.

Un choix qui n’en est pas un

La crise du logement ne touche pas uniquement la sphère de l’hébergement, mais a un effet en cascade sur tous les autres éléments de la vie des femmes, pour qui l’emprise se fait de plus en plus faible. Une intervenante de Salaberry-de-Valleyfield partage que « des femmes qui font des demandes d’aide alimentaire pour la première fois de leur vie, c’est devenu fréquent. Elles travaillent à temps plein, elles ont de bonnes jobs, mais ça ne suffit plus. Dernièrement, une femme nous a confié qu’elle avait commencé à prendre sa médication un jour sur deux pour pouvoir sauver des sous et arriver à payer son loyer, ça n’a aucun sens! Les femmes se retrouvent à faire des choix qui ne devraient pas en être ». Le portrait est similaire à Beloeil, confie une intervenante : « Ce n’est plus juste les femmes au salaire minimum qui n’arrivent plus à payer leur logement, on voit toutes sortes de professions. Et quand elles payent leur logement, elles n’ont plus d’argent pour manger, mais se font refuser l’accès aux banques alimentaires ».

L’absence de logements abordables est également lourde de conséquences pour les femmes vivant en situation de violence, expliquent des travailleuses de ressources d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale. « Avec le prix des loyers actuels, c’est pratiquement impossible de payer un appartement toute seule. Même si elles savent qu’elles sont en danger dans leur relation, on voit plusieurs femmes qui ne quittent pas leur conjoint violent parce qu’elles craignent, avec raison, de se retrouver à la rue ». De plus, « il y a aussi l’enjeu des enfants à considérer. Les femmes qui souhaitent avoir la garde de leurs enfants doivent prouver qu’elles sont en mesure d’avoir une chambre pour chaque enfant. Ça représente minimalement un 4 ½, mais elles ne peuvent pas payer pour ça et elles le savent alors elles restent en situation de violence pour ne pas perdre leurs enfants ». Si les femmes ne devraient pas avoir à choisir entre manger ou avoir un toit sur la tête, elles ne devraient pas non plus avoir à choisir entre la violence ou l’itinérance.

Une course contre la montre, parsemée d’embûches

Pour certaines femmes, la combinaison de réalités identitaires représente un frein supplémentaire à l’accès au logement. Soit parce qu’elles ne sont pas à l’aise d’utiliser les moteurs de recherche, soit parce qu’elles n’ont pas accès à internet, pour plusieurs femmes âgées le marché locatif en ligne (Kijiji, Marketplace, etc.) n’est pas accessible. En plus de la fracture numérique, pour les femmes seules, le rapport de pouvoir avec les propriétaires les expose à de plus grands risques de violence. Pour celles issues de minorités visibles discriminées, la quantité de demandes permet entre autres aux propriétaires racistes de faire le tri. Une intervenante de Salaberry-de-Valleyfield relate: « J’ai accompagné une femme au centre qui avait trouvé un logement intéressant, un peu cher, mais elle allait pouvoir y arriver. Les échanges courriels se passaient très bien avec le propriétaire. Lorsqu’elle lui a téléphoné pour confirmer la visite, le logement était subitement loué. C’est difficile de penser que ça n’a rien à voir avec son accent hispanophone ».

Des travailleuses à bout de souffle

Devant cette crise résidentielle, les organismes sont submergés. Même lorsque leur mission n’a rien à voir avec le logement, l’enjeu reste central. Une travailleuse en aide à l’emploi partage: « On est un organisme en employabilité et on a commencé à faire du dépannage alimentaire. On a une entente avec Moisson Rive-Sud qui livre directement chez nous ». Le constat est le même pour plusieurs membres : « Je travaille dans un centre de femmes et je me retrouve à faire des accompagnements à la Régie du logement pour contester des augmentations de loyer. Ce n’est pas mon travail, mais je n’ai personne à qui les référer ».

Cette détresse vécue par les femmes n’est pas sans conséquences pour les professionnelles qui se sentent démunies face au manque de solutions. Les demandes sont plus larges, les besoins plus criants, mais les ressources ne sont pas plus nombreuses… au contraire.  « Il n’y a pas une semaine qui passe sans qu’en réunion d’équipe, on entende le mot impuissance. C’est épuisant. », confie une intervenante de Longueuil.

Il est minuit moins une

Le gouvernement Legault a eu quatre ans pour améliorer l’accès à des logements sociaux, permanents, abordables, salubres et sécuritaires. Aujourd’hui, les groupes de femmes de la Montérégie constatent tristement que le portrait est déplorable et très clair : la crise du logement s’étend partout en Montérégie et a des conséquences dramatiques sur les femmes. Carolle Mathieu, directrice du Centre de femmes du Haut-Richelieu et présidente du conseil d’administration de la TCGFM est sans équivoque: « il faut arrêter de penser que la crise du logement touche tout le monde de la même façon. Pour les femmes, ça représente une vulnérabilité impensable. La crise du logement a un genre et il faut le reconnaître, c’est de la vie des femmes dont il est question ».

Il y a quatre ans, on sonnait l’alarme. Aujourd’hui, on tente de donner une voix aux réalités invisibles des femmes parce qu’on n’en parle pas assez, ni dans les campagnes électorales, ni en début de mandat et surtout pas quand on est au cœur de la crise. Monsieur Legault, les membres de la TCGFM ont une question essentielle pour vous, pourquoi les femmes doivent-elles encore payer le prix ?

À propos

Créée en 1980, puis officiellement enregistrée en 1988, la TCGFM est un regroupement féministe d’organismes à but non lucratif qui œuvre dans une perspective de défense collective des droits des femmes. En favorisant la création d’une solidarité régionale entre les groupes de femmes de la Montérégie, la TCGFM a pour mission l’amélioration des conditions de vie des femmes sur les plans économique, politique et social, et l’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi qu’entre les femmes elles-mêmes.

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Source

Nom, titre : Linda Crevier

Téléphone : 514-562-2436

Courriel : dg@tcgfm.qc.ca

Le 24 octobre prochain, dans le cadre de la Journée de reconnaissance de l’ACA , exigeons du nouveau gouvernement qu’il réponde dès son premier budget aux besoins du mouvement communautaire.

Les récents investissements dans le cadre du Plan d’action gouvernemental en action communautaire sont insuffisants pour combler les besoins minimums de l’ensemble des organismes d’ACA.

Le nouveau gouvernement élu a encore beaucoup du travail à faire et a les moyens de faire mieux !

POINT DE PRESSE NATIONAL

Rendez-vous le 24 octobre à 10h00
sur la page Facebook du RQ-ACA et de la campagne Engagez-vous

L’ensemble des organismes sont invités à envoyer un « DÉCRET COMMUNAUTAIRE » au gouvernement en utilisant un visuel commun.
Téléchargez le gabarit et complétez votre « Décret »

Envoyons un message fort à la Coalition Avenir Québec afin que le gouvernement réponde aux besoins des organismes communautaires dès le prochain budget 2023.

Cette action s’échelonne du 24 octobre 2022 au 1er février 2023 

Les décrets de tous les organismes seront déposés à l’Assemblée nationale dans le cadre d’une action de visibilité pré-budgétaire à l’hiver.

Pour plus d’information, cliquez ici.

Nous aimerions inviter tous les résidents de Greenfield Park à participer à un sondageVotre opinion est très appréciée et nous aidera à l’élaboration des besoins d’un futur Centre Communautaire.

Pour accéder au sondage, scannez le code QR ou cliquez sur le lien ci-dessous:

https://www.surveymonkey.com/r/P7SYSMS

Votre avis est important afin de faire de ce projet un lieu inclusif, rassembleur et universellement accessible. Vous avez jusqu’au 23 octobre 2022 inclusivement.

***Veuillez noter que le sondage sera disponible à partir du 15 octobre


Le portrait social a pour objectif de mieux connaître et comprendre les besoins de la population. Il vise également à soutenir le milieu communautaire et à renforcer sa capacité d’action collective auprès des résidentsEs de Brossard.


La TBC vous invite à partager le sondage sur vos réseaux sociaux, infolettre et autres outils de communication.


Vous pouvez également partager le sondage avec les personnes appartenant à votre équipe, utilisatrices et utilisatrices de vos services qui résident à Brossard. 



Le lien du sondage est le suivant :  
https://forms.gle/gUHcQ1ebHBr3tR3d6
Nous comptons sur votre collaboration !!

La 13 e édition de la Semaine de la solidarité se déroulera du 10 au 17 octobre 2022.

À l’initiative du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, la Semaine de la solidarité vise à sensibiliser la société québécoise aux difficultés qui peuvent être vécues par les personnes en situation de pauvreté et d’exclusion sociale et à lutter contre les préjugés dont elles sont parfois victimes. Elle vise aussi à mettre en lumière les acteurs qui soutiennent ces personnes à longueur d’année.

Nous vous invitons à faire rayonner les personnes et les organisations qui luttent contre la pauvreté
et l’exclusion sociale au Québec.

Vous pouvez, vous aussi, initier des gestes de solidarité pour participer à ce grand élan d’entraide!

Propositions d’actions pour faire rayonner la semaine

Invitez votre réseau à faire rayonner la Semaine en leur partageant ces idées. Vous pouvez aussi
personnellement poser ces gestes si le cœur vous en dit!

Action No 1 – Partagez un geste de solidarité
Partagez sur vos plateformes personnelles de réseaux sociaux un geste de solidarité en intégrant les
mots clic #SemaineSolidarité2022 dans votre publication.

Exemples de gestes

  • le geste peut témoigner de votre solidarité à titre personnel (faire des dons, devenir
    bénévole dans un organisme communautaire, etc.);
  • le geste peut viser à faire valoir le potentiel des personnes vulnérables, en situation de
    pauvreté ou à faible revenu, des personnes en situation d’itinérance, des personnes
    victimes de discrimination ou d’exclusion sociale, etc.;
  • le geste peut viser à remercier publiquement des personnes, des organisations ou des
    entreprises de votre région qui travaillent activement pour lutter contre la pauvreté et
    l’exclusion sociale.

Action No 2 – Affichez les couleurs de la Semaine
Invitez votre réseau de partenaires à promouvoir le partage d’un geste de solidarité dans leurs
communications (courriel, infolettre, page Web, etc.) en leur proposant la bannière de la Semaine.

Vous aussi pouvez inviter au partage en intégrant cette bannière dans votre signature courriel ! Vous trouverez différents formats dans la section Outils de la page Web de la Semaine à
Québec.ca/semaine-solidarité.

Action No. 3 – Partagez nos publications sur vos médias sociaux
Du 10 au 17 octobre, le Ministère fera une publication chaque jour sur ses comptes de médias
sociaux. Nous vous invitons à les partager sur vos comptes.
Facebook
Twitter
LinkedIn

Action No. 4 – Faites rayonner la Semaine dans votre réseau
Inspirez-vous des textes suivants pour faire la promotion de la Semaine de la solidarité sur vos
différentes plateformes de communication: sites Web, infolettres, médias sociaux, messages aux
employés, communications avec les partenaires, etc.

VERSION COURTE
Semaine de la solidarité 2022
La Semaine de la solidarité se tient du 10 au 17 octobre. C’est le moment de faire rayonner des
initiatives de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale!
Participons et partageons des gestes de solidarité #SemaineSolidarité2022.
Québec.ca/semaine-solidarité

VERSION LONGUE
Semaine de la solidarité 2022
10 au 17 octobre 2022
La Semaine, c’est le moment de

  • sensibiliser notre milieu aux difficultés qui sont vécues par les personnes en situation de
    pauvreté et d’exclusion;
  • combattre les préjugés, qui sont un important frein à la lutte contre la pauvreté;
  • mettre en lumière le potentiel des personnes les plus vulnérables.

Visionnez les témoignages d’acteurs de la solidarité

Participez et partagez des gestes de solidarité #SemaineSolidarité2022
Québec.ca/semaine-solidarité

Prenons soin les uns des autres!
Comme le dit si bien monsieur De Koninck dans son témoignage : « La Semaine de la solidarité,
c’est un moment où on se rappelle qu’on a besoin les uns des autres. »

Alors, regardons autour de nous, osons aider et passons à l’action!

MERCI CHALEUREUSEMENT DE VOTRE PARTICIPATION !

Volontariat!

Recevez une bourse jusqu’à 750$ pour réaliser un projet qui fait une différence dans votre communauté. Le porteur ou la porteuse de projet doit être âgé-e entre 18 et 35 ans pour être admissible. Les projets individuels, de groupe et d’organismes sont les bienvenus. Nous offrons un accompagnement dans l’élaboration de votre projet sur place!

Pour plus de renseignements, contactez Myriam Fontaine, la conseillère en développement de projets de Place à l’emploi.

Myriam Fontaine

450 646-1030

mfontaine@placealemploi.ca

Dans les premières années de l’allocation, le CISSS de la Montérégie-Centre, RLS de Champlain, a soutenu le projet collectif l’Autre épicerie. Lors de la rencontre du 28 septembre 2022, le comité de coordination de l’Autre épicerie a pris la décision de mettre fin au projet compte tenu que les conditions gagnantes pour assurer sa viabilité n’étaient pas au rendez-vous. Dans ce contexte, le CISSS Montérégie-Centre, RLS de Champlain procède à un appel d’intentions de projet.

 

Veuillez-vous référer au document ci-joint pour prendre connaissance de l’appel d’intentions de projet (allocation 2022-2023).

http://extranet.santemonteregie.qc.ca/userfiles/file/sante-publique/promotion-prevention/Allocation-determinants-collectifs-securite-alimentaire-2018-2023.pdf

Formulaire d’intentions de projet (date limite de dépôt 28 octobre 2022, 16 h)

https://questionnaire.simplesondage.com/f/s.aspx?s=4a036e38-3343-4122-8104-bce967432fd9

Cadre de référence régional Allocation sur les déterminants collectifs de la sécurité alimentaire.

http://extranet.santemonteregie.qc.ca/userfiles/file/sante-publique/promotion-prevention/Cadre-de-reference-Securite-alimentaire.pdf

Une rencontre d’information sur l’appel d’intentions de projet est prévue le 20 octobre 15 h 30 par zoom :

https://santemonteregie.zoom.us/j/69704354400?pwd=eTBwVjBaUmJXV2RMWXIrL0xMelhSUT09

 

Nadine Geneviève Desjardins

Organisatrice communautaire
Équipe organisation communautaire
Direction de santé publique de la Montérégie
CISSS de la Montérégie-Centre

Centre administratif
5928 boul. Cousineau
Saint-Hubert (Québec) J3Y 7R9
Téléphone: 450 462-5120 poste 16004
Courriel: nadinegenevieve.desjardins.cisssmc16@ssss.gouv.qc.ca

 

2022-10-05_PAGIEPS 2022-2023_Modalités locales