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SOURCE : Infolettre du RQ-ACA |
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SOURCE : Infolettre du RQ-ACA |
Montréal, le 11 août 2021 – Cet été, continuez de faire battre le coeur des personnes qui ont besoin d’une transfusion de produits sanguins pour recouvrer la santé.
Il est possible de planifier un don dès maintenant à la collecte de sang de la ville de Boucherville qui se tiendra le jeudi 23 septembre prochain, entre 10 h et 20 h. Elle aura lieu au Centre communautaire Saint-Louis situé au 220, rue Claude-Dauzat à Boucherville. L’objectif de cet événement est d’accueillir 160 donneurs.
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MBIOO_23 septembre 2021_Communiqué de presse
Saint-Hubert, le 18 août 2021 – En septembre, cela fera 50 ans que le Centre d’action bénévole de Saint-Hubert s’implique dans la communauté hubertaine. Ce qui, au départ n’était qu’une idée s’est concrétisée sous l’impulsion de madame Michelle Plante qui a créé et accompagné notre organisme pendant plus de 25 ans. C’est pour pourvoir au bien-être des personnes âgées que madame Plante fonde l’organisme qui s’appellera jusqu’à 1986 SBPA (Service bénévole aux personnes âgées de Saint-Hubert). Le projet d’offrir des repas à domicile s’impose rapidement et madame Plante s’inspire du service de popote roulante de Montréal pour mettre en place son propre service de popote sur la rive sud. C’est ainsi qu’en collaboration avec la popote de Saint-Bruno, le service débute en septembre 1971. Ce projet de popote répond à un besoin évident pour les personnes âgées, qu’elles soient isolées socialement, de santé précaire ou convalescente. Ce sont plusieurs centaines de milliers de repas qui ont ainsi été fournis à la population depuis nos débuts. Des repas sains, cuisinés par nos bénévoles et livrés directement chez eux. Très tôt, notre organisme a aussi proposé d’autres services et activités pour améliorer la qualité de vie des citoyens. Toujours à l’affût des changements sociaux, le CAB de Saint-Hubert (CABSH) travaille également en étroite collaboration avec les milieux communautaires, institutionnels et politiques. Il contribue au développement des services en soutien à domicile, en partenariat avec le ministère de la Santé et des Services sociaux et reste un fer de lance dans la promotion du bénévolat en général.
Le CABSH a changé au cours des ans mais il est toujours resté fidèle à sa mission première : apporter une aide aux personnes âgés de Saint-Hubert. En 50 ans, notre OBNL a connu différents noms, différents logos, différentes adresses, différentes énergies de personnes déterminées à répondre aux besoins de la population locale. Et le CABSH n’a jamais cessé ses activités même au plus fort de la crise sanitaire, il s’est ajusté en favorisant le télétravail et a pu maintenir ou adapter certains services ; il était présent au moment où la population en avait le plus besoin. Mais tout ceci n’a été possible qu’avec le soutien indéfectible des bénévoles qui sont la force vive de notre organisme.
Après 50 années de rayonnement sur notre territoire, le Centre d’action bénévole de Saint-Hubert est aujourd’hui un organisme incontournable dans l’amélioration de la qualité de vie d’une population de plus de 87 000 habitants. Notre organisme est engagé pour le mieux-être de la population et ouvert aux nouvelles réalités de la communauté, il est novateur et leader par son approche, ses outils et son offre de services. Le CABSH est un phare d’entraide et de référence pour l’ensemble de la communauté ! Fort de son passé, le CABSH reste résolument tourné vers l’avenir et cherche toujours, à son échelle, à améliorer le monde !
Le Centre d’action bénévole de Saint-Hubert est un organisme à but non lucratif dont la mission consiste à promouvoir l’action bénévole dans les différents champs de l’activité humaine et à répondre aux besoins du milieu.
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Source : Laurent Folgoas
Agent de communication et de promotion
Centre d’action bénévole de Saint-Hubert
3339, Grande Allée
Saint-Hubert (Québec) J4T 2S9
450 656-9110 poste 223
Cher partenaire,
Saviez-vous que près de 1 500 postes rémunérés sont à pourvoir dans le cadre de l’élection municipale à Longueuil? Nous vous sollicitons pour transmettre l’information dans votre réseau!
Possibilité de 3 journées de travail : les 30 et 31 octobre pour le vote par anticipation ainsi que le 7 novembre pour le jour du scrutin. Scrutateur de bureau de vote, secrétaire de bureau de vote, préposé à l’accueil des électeurs et membre de la table de vérification de l’identité de l’électeur… il y en a pour tous les goûts!
En tant que partenaire communautaire de Longueuil, vous êtes invité à partager les publications de la Ville de Longueuil sur les médias sociaux (Facebook, Twitter et LinkedIn) et à propager l’information dans vos réseaux en utilisant les pièces jointes à ce courriel (affiche imprimable ou visuel pour les télévisions)!
Si vous pensez à d’autres outils de communication ou formats, n’hésitez pas à nous faire part de vos besoins et nous vous transmettrons les visuels appropriés pour accroître la visibilité de cette campagne promotionnelle!
De plus, si vous souhaitez vous joindre à la grande équipe électorale pour vivre une expérience enrichissante, postulez dès maintenant à electionlongueuil.org/travailler-a-election/.
Merci à l’avance de votre habituelle collaboration et au plaisir!
SOURCE : Ville de Longueuil
La CNESST adapte les mesures de prévention mises en place dans les milieux de travail en fonction des paliers d’alerte du gouvernement du Québec (système de couleurs). Ces mesures de prévention permettent aux milieux de travail de poursuivre leurs activités dans les conditions adaptées à la situation, tout en étant les plus sûres et les plus saines possible pour tous. Ces recommandations sont établies en fonction de celles produites par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et le Réseau de santé publique en santé au travail (RSPSAT).
Important
Ces ajustements ne s’appliquent pas, notamment, pour les milieux de soins et les milieux de vie (résidences pour personnes âgées, milieux carcéraux, centres jeunesse, etc.) en présence de personnes porteuses de la COVID-19, présentant des symptômes compatibles à ceux de la COVID-19 ou ayant eu des contacts avec un cas confirmé. Pour plus d’informations, consultez l’outil d’aide à la décision.
En tout temps, les milieux de travail aux prises avec une éclosion de COVID-19 sont tenus de respecter les mesures recommandées par les directions de santé publique.
SOURCE : CNESST
SOURCE : Riposte média
En effet, des lettres envoyées aux locataires, signées par Maher & Du Tremblay gestion immobilière, annoncent des rénovations majeures à partir du 1er octobre 2021.
Selon l’entreprise, ces travaux requièrent une évacuation des résidents pour une période de 18 mois, dès le 30 septembre.
Toutefois, le Comité affirme que les délais d’envoi de ces lettres ne sont pas réglementaires.
Pour une évacuation de plus de 7 jours, l’avis aurait dû être transmis au minimum trois mois avant le début des travaux, soit en juillet.
De plus, la lettre ne fait mention d’aucune indemnité offerte aux locataires, ce qui est obligatoire en cas d’évacuation pour travaux majeurs.
Ainsi, les résidents des immeubles doivent trouver un nouvel endroit où se loger, alors que le taux d’innocupation de la ville est à 1,3%, son plus bas depuis 15 ans.
De plus, le loyer moyen à Longueuil s’élève à 900$ par mois, un montant inaccessible pour la majorité d’entre eux.
Les locataires manifestent présentement leur désaccord et leurs revendications à même la rue Charron et devant les immeubles.
Le Comité logement Rive-Sud assure les soutenir dans leur processus pour obtenir un traitement juste de la part des propriétaires.
Peu importe où vous vous trouvez au Québec, vous avez forcément été touché par les vagues de chaleur qui ont frappé la province depuis le début de l’été. Trois canicules en l’espace de deux mois, du jamais vu. Nous vivons peut-être l’été le plus chaud de nos vies, mais n’aurait-il pas plutôt lieu de dire que nous vivons l’été le plus frais des 50 prochaines années? Et que dire du soleil coloré par le smog des feux en Ontario?
À l’échelle du pays, ce sont déjà plus de 808 personnes qui ont perdu la vie suite aux chaleurs extrêmes. Chaque vague de chaleur coûte environ 55 millions de dollars en soins médicaux au Québec. Ces canicules engorgent nos services de santé et nos hôpitaux, déjà surchargés.
Devant cet état de faits, nous ne pouvons plus nier les changements climatiques ni ses conséquences désastreuses, et même mortelles.
Comment ne pas être envahis par l’anxiété en constatant que partout à travers la planète, nous expérimentons ce mois-ci les pires scénarios initialement prévus en 2050 par les spécialistes : tornade meurtrière à Mascouche, feux et sécheresse en Californie et en Colombie-Britannique, province où on a déclaré l’état d’urgence en raison des feux , sécheresse causant la famine à Madagascar, pluies torrentielles au Japon causant des glissements de terrains, inondations en Allemagne, en Belgique et en Chine causant près de 200 décès, etc
Pourtant, des solutions concrètes existent autour de nous, très près de nous même. Dans nos villes et villages!
Nous pensons souvent que seules les grandes instances, comme les gouvernements fédéral et provincial, ont un pouvoir assez important pour contrer la crise climatique et environnementale. Pourtant, le palier municipal est au cœur des solutions pour affronter les défis de la crise climatique. Ces gouvernements locaux peuvent aussi favoriser notre bien-être et notre santé en adoptant des politiques plus vertes en matière d’urbanisme, de gestion des eaux et des matières résiduelles, de sécurité publique, de développement économique.
En plus, c’est le palier le plus accessible pour les citoyennes et citoyens. Alors investissons-le pour repenser nos collectivités afin qu’elles soient plus sécuritaires, plus saines, plus égalitaires, plus vertes pour toutes et tous!
La crise climatique et environnementale doit être LA priorité aux prochaines élections municipales du 7 novembre, pour la santé de notre planète, la nôtre et celle de nos enfants.
Des comités citoyens partout à travers la province se mobilisent pour mettre l’environnement au cœur des élections municipales et exiger des candidats et candidates des mesures concrètes.
Nous allons veiller à ce que les candidats et candidates de Longueuil prennent au sérieux la crise écologique et proposent des solutions ambitieuses et concrètes pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre et préparer nos collectivités à faire face aux aléas du climat. Ils et elles peuvent déjà s’inspirer des 68 propositions environnementales de l’initiative Vire au vert pour élaborer leur programme électoral.
Nous avons déployé les grands moyens pour la crise sanitaire, faisons-le pour la crise climatique et écologique.
Jean Baillargeon – La Planète s’invite au Parlement-Longueuil
Cécile Roy – Mères au front-Rive-Sud
Marie-Eve Leclerc – Équiterre
SOURCE : Le Courrier du Sud
À Lytton, un village au nord-est de Vancouver, on a enregistré la plus haute température de l’histoire canadienne, soit 49,5 °C. Plus de doute possible : nous devons agir dès à présent pour atteindre la carboneutralité le plus rapidement possible afin d’atténuer les conséquences de la crise climatique.
Transition et monde du travail
La transition vers une économie sobre en carbone nécessite des transformations profondes et urgentes dont les conséquences sur le monde du travail seront considérables. Ni les travailleuses ni les travailleurs ne doivent en faire les frais. C’est dans cette perspective qu’en 2009, la Confédération syndicale internationale développait et proposait à l’ONU le concept de transition juste, stipulant que la transition énergétique ne devait pas se faire au détriment de la justice sociale.
Ce concept a été repris par les mouvements syndicaux partout sur la planète et progressivement adopté par un grand nombre de mouvements environnementaux dont, au Québec, le Front commun pour la transition énergétique. En 2015, l’Organisation internationale du travail (OIT) a adopté les Principes directeurs de la transition juste, qui mettent en exergue le dialogue social, la protection sociale, le droit au travail décent et le droit à l’emploi. Nous devons adapter ces principes aux réalités québécoises pour chacun des secteurs d’activités et chacune des régions.
La transition juste prend en compte plusieurs angles morts des programmes de réduction de l’empreinte carbone, notamment ceux qui touchent les travailleurs et travailleuses dont les emplois dépendent d’industries à hautes émissions de GES. Les gouvernements et les entreprises doivent développer les moyens nécessaires pour que les gens puissent faire face aux conséquences de tous ordres générées par la transition énergétique.
Les travailleuses et les travailleurs concernés, ainsi que les organisations syndicales qui les représentent, doivent pouvoir contribuer à la recherche et à la mise en place de solutions tant pour la réduction des GES que pour répondre à divers besoins, tels que la requalification et la réorientation des personnes qui pourraient perdre leur emploi ou voir celui-ci se transformer radicalement.
Emplois d’utilité sociale et environnementale
Les répercussions de la transition énergétique iront bien au-delà du secteur de l’énergie : elles toucheront l’ensemble de l’économie et toutes les sphères de nos vies. Ainsi, favoriser le développement d’emplois d’utilité sociale et environnementale, dont les services publics, s’inscrit dans une perspective de transition juste.
Le renforcement de la qualité et de l’accessibilité des services publics rendra le Québec plus résilient face aux crises. D’ailleurs, une part importante des travailleurs et travailleuses des services publics et des groupes communautaires est appelée à voir sa charge de travail augmenter, tant en raison des impacts du réchauffement climatique que des initiatives de transition qui risquent d’exercer une forte pression sur les besoins.
Cette transformation ne doit pas servir de prétexte à l’instauration de politiques d’austérité non plus qu’à la marchandisation et à la privatisation des services publics, ceux-ci constituant l’un des principaux leviers de transition dont dispose l’État.
Transformer les milieux de vie sans reproduire les inégalités sociales
La transition énergétique ne doit pas non plus être à la source d’une augmentation des inégalités sociales ou d’une précarisation accrue des populations déjà vulnérables ou marginalisées. Au contraire, nous devons profiter de l’occasion pour améliorer les conditions de vie des gens et de leurs communautés.
Une transition juste vise à transformer les milieux de vie sans reproduire les inégalités sociales. À l’heure actuelle, les perturbations des écosystèmes frappent plus durement les personnes vulnérables et marginalisées, ainsi que les communautés autochtones. Les catastrophes naturelles augmentent le nombre de personnes réfugiées climatiques. Les changements climatiques comportent également des enjeux d’équité intergénérationnelle. Dans quel état laisserons-nous la planète aux jeunes générations, actuelles et futures?
La transition énergétique nous amènera à revoir nos façons de vivre. Il serait injuste de faire reposer le poids de ces changements sur le travail invisible, précaire et non reconnu de groupes qui sont déjà victimes de discrimination.
Par exemple, ce sont souvent des femmes qui veillent aux tâches invisibles. C’est pourquoi il est primordial d’intégrer l’analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) ou l’analyse différenciée selon les sexes plus (ADS+) dans la recherche de solutions à la crise climatique. Comprendre et documenter les conséquences de nos décisions sur les femmes, et surtout les femmes dans les marges, est essentiel à une transition juste.
Équité fiscale, réglementaire et tarifaire
Même si nous devons agir rapidement, il faut veiller à ce que les mesures prises pour juguler la crise climatique soient progressives et non régressives. Notamment, pour soutenir une transition énergétique juste, les gouvernements devront revoir les politiques fiscales afin que celles-ci découragent les émissions de GES tout en étant porteuses d’une meilleure redistribution des richesses. De même, de nouvelles mesures réglementaires et tarifaires devront être adoptées pour soutenir la transition. Il sera essentiel d’en évaluer les impacts sociaux afin d’éviter qu’elles aient des répercussions démesurées sur les groupes les moins nantis qui sont ceux qui contribuent le moins aux changements climatiques.
La transition peut être l’occasion de construire une société plus résiliente où la richesse sera mieux distribuée. À nous de la saisir!
Dominique Daigneault est présidente du Conseil central du Montréal métropolitain, CSN, membre du comité de coordination du Front commun pour la transition énergétique membre du regroupement Des Universitaires
SOURCE : Le Soleil
Corporation de développement communautaire de l’agglomération de Longueuil
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