Longueuil, le 22 juin 2021

Objet : Invitation à participer à un groupe de discussion sur
l’accessibilité universelle des commerces de proximité

L’Association des usagers du transport adapté de Longueuil (AUTAL), en
collaboration avec la Ville de Longueuil, a entrepris la rédaction d’un
guide à l’intention des commerçants de Longueuil visant à sensibiliser
et outiller ces derniers à l’accessibilité universelle de leurs
établissements.

Dans ce sens, la Ville de Longueuil et l’AUTAL ont le plaisir de vous
inviter à participer à un échange portant sur l’accessibilité
universelle des commerces.

Cet échange, sous forme de groupes de discussion virtuels, sera animé
par des étudiants de l’Université de Sherbrooke qui ont pour mandat de
contribuer à la réalisation d’un « Guide d’accessibilité des commerces
et des services de proximité pour tous » qui est piloté par l’AUTAL. Il
s’agit d’une action inscrite au Plan d’action à l’égard des personnes
handicapées et mesures en matière d’accessibilité universelle de la
Ville de Longueuil.

Les informations recueillies lors de ces activités nous aideront à
proposer des recommandations pour la réalisation de ce guide qui vise à
sensibiliser et outiller les commerçants afin que leurs établissements
soient accessibles à toutes et à tous.

Deux séances sont prévues avec, pour chacune d’entre elles, différents
participants afin d’approfondir et couvrir différents angles :

* Citoyens longueuillois en situation de handicap : 26 juillet 2021,
9h00 à 11h00;
* Représentants d’organismes de personnes handicapées, âgées ou
famille : 27 juillet 2021, 9h00 à 11h00.

Pour vous inscrire, ou pour toutes questions, veuillez communiquer avec
monsieur Raphaël Massé, conseiller en développement social à la Ville de
Longueuil, par téléphone au 514 236-8991 ou à l’adresse courriel
suivante : raphael.masse@longueuil.quebec au plus tard le 2 juillet
2021. Une fois l’inscription confirmée, nous vous enverrons le lien et
le code Zoom pour vous connecter.

Si vous avez des besoins particuliers, n’hésitez pas à nous en faire part.

Venez partager vos idées avec nous !

Martin Morin
Directeur général
Association des usagers du transport adapté de Longueuil

Raphaël Massé
Conseiller en développement social
Ville de Longueuil

TROC-Montérégie

23 juin 2021

 

Les organismes de la Montérégie seront invités à soumissionner via le SEAO (système électronique d’appel d’offres du gouvernement du Québec) pour des ententes de services ASRI ou lit de dégrisement. Les organismes communautaires membres et délégués des tables en itinérance de la Montérégie se questionnent et souhaitent vous faire part de quelques mises en garde au sujet de cet appel d’offres :

 

L’objectif de cet appel d’offres : « Rendre disponibles des places d’hébergement temporaire de quelques heures à 48 heures pour offrir aide et soutien à la récupération et répit aux adultes intoxiqués, en situation d’itinérance ou à risque de le devenir et à toute autre personne intoxiquée ». Les organismes devront entre autres :

  • Assurer la sécurité des personnes en état d’intoxication ;
  • Réduire les méfaits liés à l’état d’intoxication (risques liés au surdosage ou au sevrage) ;
  • Contribuer à la diminution du temps d’attente dans les urgences hospitalières de la Montérégie.

Les références à ces ententes de services proviendront des :

  • Services policiers ;
  • Services ambulanciers ;
  • Urgences hospitalières ;
  • Services de première ligne des 3 CISSS de la Montérégie ;
  • Ressources communautaires telles que les centres de crise ;
  • Autres services des 3 CISSS.

Voici quelques éléments à bien considérer avant de signer une entente de services :

 

  • Les objets de l’entente : Ils doivent indiquer clairement les services à rendre.
  • Clientèle : C ’est l’organisme qui doit pouvoir déterminer le profil des personnes qu’il peut recevoir. L’organisme peut exiger que les personnes ciblées par l’entente de services correspondent à ses critères d’admissibilité. Si l’organisme accepte de recevoir des personnes dont le niveau d’intensité des besoins est plus élevé, l’organisme doit s’assurer d’avoir des mécanismes mis en place pour assurer un service de qualité et sécuritaire (bouton panique, formation, soutien clinique, etc.) ainsi que le personnel nécessaire et qualifié pour répondre aux besoins.
  • Coordination : L’entente doit prévoir la mise sur pied d’un comité de coordination ou d’une structure de concertation commune. L’organisme doit pouvoir en tout temps se référer à ce comité de coordination.
  • Modalités d’accès et de référence : C’est l’organisme qui doit pouvoir définir les conditions et le processus d’intégration des personnes en état d’intoxication. L’entente doit prévoir des mécanismes de participation à l’évaluation des besoins et de l’intensité d’intervention requis de la personne. Aussi prévoir un mécanisme d’aide rapide et fonctionnel des cliniciens du réseau.
  • Engagements et obligations des partenaires : Le CISSS doit assurer les services médicaux généralistes, spécialistes et psychosociaux nécessaires aux usagers. Il faut convenir des modalités de référence des usagers aux services médicaux en tenant compte de leurs besoins. L’entente doit aussi prévoir l’accès aux formations du CISSS, si nécessaire.
  • Engagements financiers du CISSS : Les versements à l’organisme se feront à quelle fréquence ? L’organisme a la responsabilité d’évaluer ses besoins.

Pour établir le budget, les éléments suivants sont à prendre en considération :

  • Le montant de l’entente doit permettre à l’organisme d’avoir le personnel compétent nécessaire, en nombre suffisant, pour répondre aux besoins et ratios et ce, afin d’offrir un service de qualité et sécuritaire.
  • La planification des frais salariaux doit tenir compte de l’expérience et de l’ancienneté des travailleurs.ses. Il est proposé de baser les calculs sur les échelles salariales du réseau public (voir annexe 1 du présent document).
  • Ce qui doit figurer et être indiqué dans l’entente : L’indexation annuelle équivalente à celle du réseau.

L’organisme doit prévoir un budget sur 52 semaines :

  • Les frais liés au loyer, assurances, téléphonie, etc., sont assumés pendant les semaines de vacances ;
  • L’organisme doit verser des indemnités de congés (paies de vacances) à ses travailleurs.ses.

En résumé, voici ce qui est à prévoir :

 

  • Frais salariaux : salaires selon les compétences exigées, charges de l’employeur, régime de retraite, assurance collective, etc. ;
  • Frais administratifs ;
  • Frais locatifs, électricité, entretien ménager, entretien des installations, etc. ;
  • Frais de déplacements ;
  • Frais de supervision et de coordination ou frais de gestion (15 %) ;
  • Frais d’assurances ;
  • Frais de matériel (gants, etc.) ;
  • Etc.

 

  • Engagements communs des parties : L’autonomie et les responsabilités que la Loi sur les services de santé et les services sociaux confient aux organismes doivent être respectées. Les parties doivent donc s’engager à partager leurs orientations, connaissances et expertises au profit des usagers communs.
  • Confidentialité : La confidentialité est la base de la transmission de toute information nécessaire à la dispensation des services. Les normes de confidentialité devront être conformes aux lois ainsi qu’aux politiques et procédures en vigueur dans l’organisme et au CISSS.
  • Durée : L’entente doit définir la durée et les modalités de reconduction. Le renouvellement de l’entente doit se faire dans un délai d’au moins 60 à 90 jours à l’avance.
  • Résiliation : Les organismes peuvent résilier l’entente en tout temps selon le délai prévu dans l’entente. En tout temps, l’une ou l’autre des parties peut résilier le présent protocole d’entente en transmettant à l’autre partie un préavis écrit d’au moins quatre-vingt-dix (90) jours. Les parties peuvent en tout temps mettre fin au présent protocole d’entente d’un commun accord.
  • Modifications : Toute modification à l’entente nécessite le consentement écrit des parties.
  • Résolution des différends : L’entente doit prévoir des mécanismes de résolutions des différends qui inclus le suivi, le règlement de litiges relatifs à l’entente de services et le traitement des plaintes.
  • Consentement : Mon organisme est conscient d’être un sous-traitant, mais il détient un pouvoir de négociation sur les modalités de l’entente. Pratiquement toutes les clauses de l’entente peuvent faire l’objet d’une négociation entre les parties. Mon organisme a discuté de toutes les conditions liées à l’entente de services au sein du conseil d’administration.

ANNEXE 1

 

Les salaires : quelques comparatifs avec le réseau de la santé et des services sociaux

 

  • Technicienne en éducation spécialisée ou en travail social

Pour un poste équivalent à celui d’une technicienne en éducation spécialisée, il faut prévoir un budget entre 56 498,67 $ et 82 133,23 $ selon l’expérience et l’ancienneté.

Pour calculer les frais inhérents à un poste de technicienne en éducation spécialisée, nous avons calculé le salaire d’une employée à temps plein de la façon suivante :

Échelon 1 du Réseau

o   Taux horaire : 23,12 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 56 498,67 $

Échelon 12 du Réseau

o   Taux horaire : 33,61 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 82 133,23 $

  • Travailleuse sociale ou psychoéducatrice

 

Pour un poste équivalent à celui d’une travailleuse sociale, il faut prévoir un budget entre 61 703, 78 $ et 110 504,75 $ selon l’expérience et l’ancienneté.

Pour calculer les frais inhérents à un poste de travailleuse sociale, nous avons calculé le salaire d’une employée à temps plein de la façon suivante :

Échelon 1 du Réseau

o   Taux horaire : 25,25 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 61 703, 78 $

Échelon 18 du Réseau

o   Taux horaire : 45,22 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 110 504,75 $

  • Préposée aux bénéficiaires

 

Pour un poste équivalent à celui de préposée aux bénéficiaires, il faut prévoir un budget entre 50 218, 32 $ et 54 592, 57 $, selon l’expérience et l’ancienneté.

Pour calculer les frais inhérents à un poste de préposée aux bénéficiaires, nous avons calculé le salaire d’une employée à temps plein de la façon suivante :

Échelon 1 du Réseau

o   Taux horaire : 20,55 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 50 218,32 $

Échelon 5 du Réseau

o   Taux horaire : 22,35 $/h

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 54 592,57 $

 

En comparaison avec le salaire moyen au Québec

Selon le salaire horaire moyen[1] des employés permanents en février 2019 au Québec [26,84 $/h] :

o   Taux horaire : 26,84 $/h [salaire moyen]

o   Nombre d’heures : 35 h/semaine

o   Charges sociales : 34,27 % [inclus 12,27 % pour les charges sociales, 8 % pour les vacances, 10 % pour le régime de retraite et 4 % pour l’assurance collective].

Un poste temps complet équivaut donc à : 65 589,29 $

 

[1] Statistique Canada.  Tableau  14-10-0065-01   Salaires des employés selon la permanence de l’emploi et la couverture syndicale, données mensuelles non désaisonnalisées

 

 

TROC-Montérégie

  1. P. 262

Saint-Jean-sur-Richelieu (QC) J3B 6Z4

Téléphone : 450.347.4110

Télécopieur : 450.347.6243

www.trocm.org

Profitons de ce moment de bilan pour remercier du fond du coeur Martin Boire, notre président sortant [de la Table Nationale des CDC], aussi à la barre de la CDC de l’agglomération de Longueuil pour son apport au réseau au cours des quatre dernières années. Martin a su laisser sa marque par son engagement, sa rigueur et sa bienveillance, notamment dans le dossier du prochain PAGAC.

Il s’est investi pour améliorer les conditions et la reconnaissance de nos CDC et nous lui souhaitons le meilleur des succès dans ses prochains défis professionnels et personnels. Parions que sa fougue et son sens de la répartie sauront être au service de multiples autres réalisations.

L’ensemble du réseau des CDC te dit «Merci Martin»!

SOURCE : INFOLETTRE TNCDC

À l’approche d’une éventuelle élection fédérale, le FRAPRU presse Ottawa de reprendre le rôle moteur qu’il a historiquement joué dans le financement de nouveaux logements sociaux. Cette nécessité s’impose en raison de la crise actuelle du logement et des dommages causés par le retrait fédéral du financement de nouveaux logements sociaux à partir du début des années 1990. Une brochure intitulée Évolution des interventions fédérales en logement, que nous publions aujourd’hui, en marge de notre 40ème congrès, estime à 80 000 le nombre de logements publics, coopératifs et sans but lucratif dont le Québec a été privé en raison de ce désengagement unilatéral de la part d’Ottawa.

Compte tenu de l’ampleur actuelle de la crise du logement et des dommages causés par le retrait fédéral, le FRAPRU demande à l’administration Trudeau et aux partis qui seront en lice aux prochaines élections de s’engager à investir 3 milliards $ par année dans le financement de nouveaux logements sociaux. Une telle somme permettrait de recommencer à augmenter le pourcentage de ceux-ci sur l’ensemble du parc locatif, sa socialisation représentant un incontournable pour sortir durablement de la crise du logement.

Voici le communiqué de presse diffusé au sujet de la publication de la brochure: https://www.frapru.qc.ca/le-gouvernement-federal-logement-social/.

Pour lire la brochure, rédigée par François Saillant, c’est ici: https://bit.ly/3irfm0q. Celle-ci peut être diffusée sur Facebook à partir d’ici.

 

 

 

SOURE : INFOLETTRE TROC-M

Le ministre Jean Boulet a fait l’annonce lundi dernier d’une bonification du soutien financier de 24 M$ pour les organismes communautaires. Ces 24 millions se détaillent de la façon suivante :

  • 6 millions de dollars sur trois ans permettront de bonifier l’aide financière accordée aux organismes communautaires qui souhaitent développer les compétences de leurs employés, notamment sur le plan des compétences numériques ;
  • 18 millions de dollars sur trois ans permettront aux organismes communautaires de recourir plus facilement aux services d’intervenants externes pour réaliser des interventions visant l’adoption de meilleures pratiques en matière de gestion des ressources humaines.

Aucun crédit n’est prévu pour permettre aux organismes de réaliser leur mission et/ ou pour améliorer leurs conditions de travail de façon à attirer et à retenir leur personnel. Pourtant le Ministre se targue que ces nouveaux crédit permettront « de soutenir les organismes communautaires dans la mise en place de stratégies visant à attirer et à retenir une main-d’œuvre qualifiée ».

Le besoin de formation et les compétences en gestion des ressources humaines dans le milieu communautaire ne sont pas en cause dans la pénurie de main-d’œuvre avec laquelle les organismes doivent composer. Au contraire, les personnes qui travaillent dans les organismes communautaires sont fortement scolarisées et qualifiées. Ce que les organismes ont besoin, ce sont les moyens financiers pour améliorer les conditions de travail.

Cette annonce a été reçue plutôt froidement par le milieu communautaire sauf pour le RQ-ACA qui semble y voir un gain pour les travailleuses et les travailleurs du communautaire. Voyez ici-bas les communiqués du Ministère, du milieu communautaire et des articles sur le sujet.

Communiqué du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale : Bonification du soutien au milieu communautaire : Le ministre Jean Boulet annonce un financement de 24 M$ pour les organismes communautaires

Communiqué du RQ-ACA: 24 M$ POUR LES TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS DU MILIEU COMMUNAUTAIRE

Communiqué du MÉPAQ: UNE ANNONCE DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ DES GROUPES D’ÉDUCATION POPULAIRE AUTONOME

Radio-Canada: 24 M$ de Québec reçoivent un accueil mitigé par le milieu communautaire de l’Est-du-Québec

Journal le Soir: Une aide «quasiment insultante» pour les groupes communautaires

La CDC AL souhaite féliciter chaleureusement Premela Pearson, présidente de l’organisme Arthrite Rive-Sud, pour quatre prix soulignant sa grande implication bénévole et contribution sociale au sein de notre agglomération. Premela est la fière récipiendaire de la médaille de l’Assemblée nationale du député Gaétan Barrette, du prix de l’ordre du mérite de la ville de Brossard qui récompense des citoyens pour leur engagement remarquable dans leur communauté, du prix la reconnaissance des bénévoles d’exception attribué par le ministre Lionel Carmant ainsi que lauréate du prix Hommage bénévolat – Québec 2021 pour la catégorie Bénévolat remis par le ministre Jean Boulet. Ce dernier prix met en lumière des citoyenNEs et des organismes d’exception, qui, par leurs actions et engagements, consolident notre filet social.

 

« Je tiens à remercier tous les bénévoles pour leur dévouement. Ce sont des gens de cœur qui contribuent à bâtir des communautés toujours plus justes et inclusives. »

-Le ministre Jean Boulet

 

La CDC AL souhaite souligner le travail et le dévouement de Premela afin de favoriser la santé et le bien-être de nombreuses personnes ainsi que pour son implication au sein des différentes tables de concertation en développement social sur notre territoire. C’est avec passion et joie de vivre qu’elle contribue jour après jour à réduire les inégalités sociales et favoriser une plus grande inclusion de tous et toutes.

 

https://www.mtess.gouv.qc.ca/sacais/prix-hbq/2021/fiche.asp?id=17&annee=2021&nbre=20&idprix=ba

 

Merci Premela!

Bonjour,


Voici les informations pour la prochaine clinique de vaccination COVID-19 pour les migrants de l’agglomération de Longueuil

Quand: Dimanche 11 juillet de 11h00 à 16h30

Qui: Pour personnes migrantes à statut précaire (demandeurs d’asile, réfugiés et sans statut)
        Avec OU sans carte d’assurance-maladie (possibilité de fournir un autre document pour s’identifier)

Où: 155, rue Brodeur, Longueuil (L’Entraide Chez Nous)

Inscription requise en téléphonant au 450-468-1726 (places limitées)


Je suis disponible au besoin pour toute question en lien avec cette journée,

Serge Belle-Isle
Organisateur communautaire

Équipe Organisation Communautaire

 

Direction de santé publique

CISSS de la Montérégie-Centre
Centre administratif
5928, boulevard Cousineau, suite 200, bureau 254
Saint-Hubert (Québec), J3Y 7R9
Téléphone bureau: 450-462-5120, #16156 (Pandémie Covid-19, le message me sera transmis par courriel)

S’ancrer dans la communauté pour favoriser un plus grand épanouissement

«La Croisée de Longueuil s’ouvre vers sa communauté pour s’enrichir de ses
forces vives. » – Madame Hélène Bergeron

Longueuil, 17 juin 2021 – La Croisée de Longueuil a lancé hier, dans le cadre de son assemblée générale annuelle, ses nouvelles orientations issues de sa récente planification stratégique qui repositionne l’organisme au cœur de sa communauté. Sans se dénaturer, la vision 2020-25 positionne l’organisme comme un lieu nourricier de partage, de participation et de créativité, où la communauté est invitée à être partie prenante de la vie de La Croisée.

« Inspirée de notre nouvelle vision, la mission vient ancrée La Croisée dans son milieu. Elle met en valeur les forces vives des gens de la communauté en les accompagnant à s’épanouir à travers des actions et des projets développés pour, par et avec eux, favorisant ainsi un plus fort sentiment d’appartenance et une meilleure emprise sur leur vie et leur environnement.», d’indiquer la présidente, madame Hélène Bergeron.

Monsieur André Mercier, vice-président sortant, est heureux de laisser en héritage, après huit ans d’implication, cette vision rassembleuse et moderne. « La Croisée est un organisme qui s’est toujours renouvelé et cette vision 20-25 inclusive viendra la solidifier. Nous ouvrons nos portes et permettons aux gens de co-construire avec nous un milieu qui nous ressemblera tous.»

La Covid a renforcé le lien étroit avec la communauté et l’équipe de La Croisée. C’est en partant de cette nécessité que les membres du Conseil d’administration, les bénévoles, les partenaires et l’équipe ont eu l’élan de se redéfinir pour réinventer les cinq prochaines années.

Source : La Croisée de Longueuil
Information : Marie-Michèle Forget
(450) 677-8918, poste 221
mmforget@lacroiseedelongueuil.qc.ca

https://www.facebook.com/croiseedelongueuil/

 

Montréal, le 14 juin 2021 – Le Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) accueille positivement la bonification des mesures de soutien dédiées aux ressources humaines des organismes communautaires, telle qu’annoncée aujourd’hui par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, M. Jean Boulet. Cette aide additionnelle de 24 millions de dollars sur trois ans vient en réponse à une revendication de longue date pour le milieu communautaire.

« Dans un contexte de pénurie et de roulement de personnel qui a été exacerbé par la pandémie, il est crucial que les organismes de toutes les régions du Québec puissent améliorer les conditions de travail afin d’embaucher et de maintenir les gens en emploi, souligne Marie-Line Audet, présidente du RQ-ACA. Il est certain que le développement des compétences contribuera à cette amélioration, mais ne sera pas suffisant pour retenir nos travailleuses et travailleurs. »

La résilience et l’agilité dont les organismes communautaires font preuve sont exceptionnelles, mais ont un coût humain, celui de l’épuisement professionnel. Selon une étude menée par l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (l’IRIS) dans le cadre du projet de recherche de l’Observatoire de l’ACA, plus de 96% des travailleuses et travailleurs ont ressenti une augmentation de l’isolement (96,3%) et de l’anxiété (96,6%) avec la crise COVID-19, et 92,5% ont eu besoin de soutien social.

Alors que ces investissements pour la formation et l’accompagnement représentent de bonnes nouvelles pour le milieu, les besoins de l’ensemble des organismes sont pourtant estimés à 460 millions de dollars.

L’engagement du ministre et celui de son gouvernement est clair : mieux soutenir les organismes communautaires via un plan d’action gouvernemental en action communautaire. L’annonce d’aujourd’hui représente un pas en avant qui précèdera, nous le souhaitons ardemment, celle que nous attendons depuis longtemps, c’est-à-dire des investissements majeurs dédiés à la mission des organismes d’action communautaire autonome.


Le RQ-ACA est l’interlocuteur privilégié du gouvernement en matière d’action communautaire autonome, représente 64 regroupements et organismes nationaux, et rejoint au-delà de 4 000 organismes luttant partout au Québec pour une plus grande justice sociale.

 

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Pour information :
Meaghan Johnstone
514.416.4283 / communication@rq-aca.org

Vous trouverez ci-dessous Le guide pour le maintien et l’adaptation des activités et des services offerts par les organismes communautaires dans le contexte de la Covid-19 le plus à jour du Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec.